(Etats de Réalité Non-Ordinaire)
7, rue des Capucins
7, rue des Capucins
57000 METZ
Tél. : 09.54.50.83.59 / 06.95.26.90.57
E-mail : compagnie.erno@gmail.com
Un merci particulièrement chaleureux à Philippe Boissé qui nous à fait confiance et offert un théâtre; Robert Fery qui nous a présenté au précédent et soutenu depuis nos débuts cahoteux; au Conseil de Fabrique de l'église Saint-Maximin qui tolère nos tambours et nos cris; à Robert Scholtus; aux associations Faubourg Commerçants Outre-Seille, Oui ! Vivre en Outre-Seille et QSL qui nous aident ou nous ont aidés à faire vivre des places trop silencieuses; à David Salvatore qui a construit notre première scène pour rien et nous a appris à le faire nous-même; au regretté Théâtre de la Seille qui a été un temps le seul à vouloir nous accueillir et promouvoir notre travail; à feu l'Art-Café l'Emile Vache aujourd'hui le Berliner, à Florian Schall qui nous en a discrètement ouvert les portes pour nous offrir notre premier lieu de répétition; au Théâtre Universitaire de Metz et l'espace Bernard-Marie Koltès qui ont appris à nous connaître; à nos premiers musiciens, Thomas Pfaff le violoniste, Thomas Bize le batteur et Gregory Deck; à Armand Klein; à Christel Mage et notre premier Peter Pan, Gustin; à Edwige Lambert, qui a récupéré nos barbes; à François-David Scharff, notre pourvoyeur d'épées; à Samir du Petit Bôbourg pour son rire qui porte deux fois plus loin que le nôtre; à Michel Contamine, Alexis Besse, Mamar Bidaoui, Samira Meddahi, Maxime Rodriguez, Thomas Scuderi et tous ceux qui nous ont soutenus dans le cadre de la bourse Envie d'Agir; à Alexandre Rouyer; à Françoise Toussaint du centre Arc-en-Ciel qui nous aide à faire aimer le théâtre aux enfants du coin; à Alexandre Fisch, notre premier tourneur sorti de nulle part un soir d'août sur la place Saint-Louis; à la ville de Metz et aux interminables travaux du Mettis qui nous fournissent jour après jour le bois nécessaire à la construction de notre radeau - trois-cent kilos de sapin simplement payés en ampoules et en sueur; à Antonio Diaz-Florian et au Théâtre de l'Epée de Bois; à tous ceux enfin que nous avons honte d'avoir oublié et qui nous suivent dans notre délirante entreprise de théâtre pauvre. Grand le merci sincère.