lundi 22 février 2010

Un mot de l'auteur

J'ai écrit La Barque de Charon comme un cauchemar injecté de sens. Trois ou quatre commencements, deux fins, un acte premier qui arrive à la moitié de la pièce, un dénouement annoncé mais pourtant impromptu... Ce n'est pas une pièce sans queue ni tête, justement, c'est une hydre.